mardi 15 avril 2008

*A...*


[…]

Heureusement que je vous ai vous,
Vous qui passez si inaperçu ;
Car à jamais, je vous avoue,
Je préfèrerai mes Inconnus.

Jamais de promesses, ni de belles paroles,
Juste ce frisson quand on me frôle
Du bout des yeux, et ce silence
Qui prouve votre patience

A mes maux inutiles.
Chaque fois que je crois perdre le fil,
Votre raison, votre amitié est là,
Je le sais, le sens,et je le vois.

[MM] Mai 2003

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